FSSP Tours

Fraternité Sacerdotale St-Pierre à Tours

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Prière pour la France

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Seigneur Jésus, nous vous confions notre pays, la France, et tous ses habitants. Nous vous bénissons pour les nombreuses grâces que vous lui avez accordées, pour la variété et la beauté de ses paysages, pour les saints qu’elle a donnés au monde, pour sa vocation de fille aînée de l’Eglise.

Que nos responsables politiques soient remplis de sagesse, qu’ils soient désintéressés et déterminés à gouverner avec justice et à promulguer des lois qui respectent la vie et les personnes. Qu’ils reconnaissent les racines chrétiennes de la France.

Marie, vous qui avez visité notre pays à plusieurs reprises, vous qui avez demandé à L’Ile-Bouchard aux petits enfants, de « prier pour la France », aidez-nous à aimer notre pays, à prier pour lui et à y répandre l’Evangile de votre divin Fils.

Apprennez-nous à rester fidèles aux grâces de notre baptême. Donnez-nous de saintes vocations pour servir l’Eglise et montrez-nous comment dire oui à Dieu toute notre vie.

Saint Joseph, patron de l’Eglise Universelle, priez pour nous.

Ô Marie conçue sans péché priez pour nous.

Ainsi soit-il.

Neuvaine à saint Joseph – 11 mars

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Je vous salue Joseph,
vous que la grâce divine a comblé,
le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
l’Enfant divin de votre virginale Epouse est béni.
Saint Joseph, donné pour Père au Fils de Dieu,
priez pour nous, dans nos soucis de famille,
de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.

 

La discrétion des Evangiles à votre propos, saint Joseph, est sans doute le plus bel éloge qu’ils pouvaient vous faire. Avec vous, tout est simple : Dieu parle, vous obéissez. La foi vous suffit : c’est elle qui éclaire votre nuit ; sans tarder, vous vous mettez en route sur les chemins de l’espérance pour accomplir le ministère de charité que le Seigneur vous confie. Votre seule récompense : être le serviteur de la joie du Père en vous effaçant à l’ombre de sa gloire. Ce qu’a proclamé saint Jean Baptiste, vous l’avez vécu avant lui : « Qui a l’épouse est l’époux ; quant à l’ami de l’époux, il se tient là, il l’écoute, et la voix de l’Epoux le comble de joie. Telle est ma joie, elle est complète. Il faut que lui grandisse et que moi, je diminue. »

Bien avant les Apôtres, vous êtes entré dans la joie parfaite d’une vie livrée par amour, dans la joie du Père, du Fils et de l’Esprit Saint, Joie unique des trois Personnes qu’avec Marie votre Epouse, vous fûtes le premier à accueillir. Qu’elle était douce et pénétrante cette Joie de la sainte Famille ! Comme un soleil elle illuminait votre vie : plus ardente que la peur lorsque la vie de l’Enfant fut menacée, plus profonde que toutes les vicissitudes, dont vous ne fûtes pas épargnés, plus forte que l’habitude, dans le quotidien de la vie cachée.

Saint Joseph, apprenez-nous à découvrir au cœur de nos vies cette perle précieuse de la Joie de l’Esprit. Que nous vivions comme vous dans la simplicité de la foi ne cherchant rien d’autre que la volonté de Celui qui le premier nous a aimés.

 

 

Echo du sermon

Echo du sermon

« Ce qui est tombé dans la bonne terre, ce sont ceux qui, après avoir entendu la parole avec un cœur noble et bon, la garde et portent du fruit en abondance ».

La parole de Dieu, c’est tout ce que le créateur nous révèle. C’est toujours Dieu qui révèle. Et cette instruction que Dieu nous donne, sur lui, sur nous-même et sur notre prochain, et qui nous est transmise par l’auteur inspiré, se fait en deux étapes : tout d’abord Il nous enseigne une matière que nous devons ensuite digérer.

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L’écho du sermon – 18 décembre 2016

Echo du sermon

Si nous croyons dans les paroles de saint Jean-Baptiste, qui nous annonce le salut, nos cœurs sont rarement prêts à la venue du Sauveur. Il faut être prêt à recevoir le Seigneur, et cela ne peut se faire sans efforts. Il nous faut pour cela trancher notre orgueil, couper tout ce qui nous retient sur terre et empêche notre envol vers Dieu, et faire fructifier les talents que nous a donnés Notre Seigneur.

L’écho du sermon – 11 décembre 2016

Echo du sermon

Jean le Baptiste, que nous présente une nouvelle fois l’Évangile de ce 3ème dimanche de l’Avent, nous apprend que le Messie est au milieu de nous. En effet, il est en chacun de nous par la grâce. En outre, là où deux ou trois sont rassemblés en son nom, il est là, au milieu d’eux (cf. Mt 18, 20). C’est pourquoi les prières familiales du matin et du soir sont si importantes : les enfants y goûtent une certaine intimité avec Dieu.
Comme Jean-Baptiste, n’ayons pas peur de montrer le Christ au monde. Mais n’oublions que l’âme de tout apostolat est la vie intérieure, qui n’est possible que par les mérites de la Passion. Or c’est par la sainte Messe, qui réactualise ce sacrifice, que nous sont appliquées ces grâces. Ne mettons donc pas de côté ce trésor de la liturgie que l’Église met à notre disposition pour nous faire revivre, chaque année, les mystères de la vie du Christ, et nous en communiquer les grâces.

L’écho du sermon – 27 novembre 2016

Echo du sermon

Voici venu le temps de l’Avent, temps de préparation à Noël. Se préparer à Noël, ce n’est pas penser au repas, avec sa dinde et sa bûche, ni au sapin ou aux cadeaux. Le monde a perdu le sens profond de la fête de Noël, et nous aussi, avec lui, nous l’oublions bien trop souvent.
Se préparer à Noël, c’est préparer son cœur à la venue du Sauveur. Et c’est exactement à cela que sert le temps de l’Avent. L’Avent est le temps rêvé pour ressouder les familles autour de la crèche, le temps rêvé pour renouer avec Dieu, l’occasion rêvée de faire le point sur nous-mêmes et de prendre la résolution de lutter contre nos défauts.
Noël est la fête de la venue du Sauveur. Il nous faut donc nous placer dans une attitude d’attente impatiente de la délivrance du péché. Ne gâchons donc pas ce temps qui nous est offert pour nous convertir au Christ, en ne le vivant pas comme le temps de pénitence qu’il est.

L’écho du sermon – 20 novembre 2016

Echo du sermon

La fin des temps, que l’Église propose à notre méditation le dernier dimanche de l’année liturgique, est, comme en témoigne l’abondante production d’œuvres de science-fiction post-apocalyptique de ces dernières décennies (dont le fameux Albator…), un sujet de fascination pour tous les hommes.
Mais il ne faut pas se laisser prendre au piège : nul ne sait ni le jour, ni l’heure du Jugement dernier, pas même les anges du ciel. Si Notre-Seigneur nous en donne les signes précurseurs, c’est pour que nous puissions nous y préparer, et non pour que nous nous prêtions à des interprétations farfelues. Mais se préparer à la fin du monde, ce n’est pas faire des provisions d’eau et de nourriture, ni construire un bunker, ni concevoir un vaisseau spatial pour échapper à la catastrophe. Car la fin du monde, pour nous chrétiens, n’est pas une catastrophe, mais le début d’un monde nouveau, l’inauguration du Royaume de Dieu. Se préparer à la fin du monde, c’est donc se préparer à ce monde nouveau, en portant notre croix, à la suite de Notre-Seigneur.

L’écho du sermon – 13 novembre 2016

Echo du sermon

«Le royaume des cieux est semblable à un grain de sénevé, qu’un homme a pris et planté dans son champ. »
Le sénevé est le Christ mystique, c’est-à-dire l’Église qui continue son œuvre ici-bas, cette Église qui est née au soir de la Pentecôte et qui s’est répandue sur toute la terre. Mais cela est aussi vrai de chacun de nous : la vie surnaturelle nous a été donnée lors de notre baptême, et comme le grain de sénevé, elle doit croître jusqu’à devenir un arbre robuste dans lequel les oiseau du ciel peuvent se poser. Mais est-ce vraiment toujours le cas ? La fin de l’année liturgique est une invitation à se poser la question. Soyons dociles à la grâce de Dieu, laissons-nous faire pour parvenir au ciel, où lui seul peut nous conduire.

L’écho du sermon – 1 novembre 2016

Echo du sermon

Gaudeamus ! L’Église nous invite à nous réjouir avec une certaine insistance en ce jour de la fête de tous les saints, car la sainteté et le bonheur ne sont qu’un. Notre bonheur véritable est en Dieu. Or, être uni à Dieu, voilà ce qu’est la sainteté. Et non seulement tout le monde peut devenir un saint, mais c’est encore l’état surnaturel normal de notre âme. Tout le monde peut devenir un saint, peu importe ses péchés. Il n’est pas un seul de nos péchés qui n‘ait été déjà accompli par un saint. La sainteté ne consiste pas à ne jamais pécher, mais à se relever après chaque chute. Loin d’être réservée à une élite, elle est l’accomplissement normal de la vie surnaturelle. Si le Verbe s’est fait chair, s’il est mort pour nous, s’il est réellement présent dans l’Eucharistie, s’il s’offre chaque jour à la messe pour nous, alors seuls les saints sont pleinement dans l’ordre. Ne nous disons donc pas : « à quoi bon être saint ? Il me suffit d’être sauvé » car il n’y a au ciel que des saints.

Bulletins

Agenda de la semaine

lundi 22 juillet 2024
  • Sainte Marie Madeleine, pénitente lundi 22 juillet 2024
mardi 23 juillet 2024
  • Saint Apollinaire, évêque et martyr mardi 23 juillet 2024
jeudi 25 juillet 2024
  • Saint Jacques le majeur, apôtre jeudi 25 juillet 2024
vendredi 26 juillet 2024
  • Sainte Anne, mère de la Sainte Vierge Marie vendredi 26 juillet 2024
  • Messe basse vendredi 26 juillet 2024  09:00 - 09:30
samedi 27 juillet 2024
  • de la férie samedi 27 juillet 2024
dimanche 28 juillet 2024
  • 10ème dimanche après la Pentecôte dimanche 28 juillet 2024
  • Messe basse dimanche 28 juillet 2024  08:45 - 09:30
  • Chapelet dimanche 28 juillet 2024  09:45 - 10:05
  • Grand'messe dimanche 28 juillet 2024  10:15 - 11:30 Eglise Saint-Pierre Ville de Tours
  • Messe basse dimanche 28 juillet 2024  18:15 - 19:00
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